Accusé de tribaliste envers les employés Mbochis de Congo Télécom, Yves Castanou convoqué à la présidence

Au cœur d’un scandale financier impliquant son église ICC, il y a quelques semaines, le pasteur Yves Castanou a blessé la sensibilité des vrais tribalistes Mbochis en appliquant leur propre médecine au sein de la société Congo Télécom qu’il dirige. Intraitable face aux employés Mbochis, habitués à la paresse et l’incompétence, Yves Castanou a été l’objet des fiches insistant sur ses propos contre les noms commençant par une voyelle. La présidence de la république lui a convoqué afin qu’il s’explique sur sa haine des nordistes avant de lui tirer les oreilles.
Les Mbochis qui ont pris en otage toute l’administration publique et politique n’aiment pas la concurrence dans leur propre terrain. Pour eux, il est normal qu’eux, méprisent le sudiste, mais inadmissible que le contraire ne se produise.
Après le constat de l’échec total d’un Mbochis à la tête de Congo Télécom, Yves Castanou a été nommé dans l’espoir de redresser cette société. Malgré ses égarements spirituels, tout le monde reconnaît en Yves Castanou un bon manager qui est entrain de remettre sur les rails cette société que les Mbochis avaient tué.
En prenant les commandes de Congo Télécom, Yves Castanou a voulu imposer son mode de gestion qui consiste à faire la guerre aux paresseux, incompétents, qui sont généralement des Mbochis arrivés en mode Yaka Noki Noki.
Trahi par sa franchise sur le rappel constant aux Mbochis de leur incompétence, des fiches lui ont été faites et remontées à la présidence de la république. Dans ses fiches on pouvait lire que le pasteur Yves Castanou tient des propos désobligeants contre les noms qui sonnent forts commençants par une voyelle.
Convoqué à la présidence de la république, il lui a été demandé s’il avait un problème particulier avec les Mbochis pour les menacer autant de licenciement à Congo Télécom ? Le pasteur Yves Castanou se serait sans doute justifier menant la guerre contre les incompétents et non contre une ethnie en particulier. Pour les faiseurs des fiches au sein de cette société, le PDG pardonne rarement une faute grave commise par un Mbochis qui est souvent licencié.