Décès à À Sicé : un triangle de trafic d’organes entre Libanais, hommes politiques et médecins

Le triangle de la mort responsable des morts à l’hôpital A Sicé de Pointe-Noire est formé des médecins, sujets Libanais et quelques hommes politiques sous fond de trafic d’organes et autres rituels. Les médecins sont chargés d’achever les malades sous la couverture des hommes politiques qui perçoivent des dividendes de la vente des organes par des Libanais. Le directeur général de l’hôpital A Sicé qui a tenté en vain de se dédouaner des accusations de la population devrait plutôt se battre afin que son établissement ne compte plus des morts aussi facilement.
Les réseaux sociaux grâce à la liberté dont jouissent ses utilisateurs ont mis à nu le système mafieux qui règne dans les hôpitaux du Congo dont celui d’A Sicé à Pointe-Noire, devenu un mouroir pour ses patients. La sortie médiatique ratée de son directeur général est la conséquence de la nervosité qui s’est installée au sein de cette mafia.
Des sources internes, on apprend qu’un triangle de la mort formé par diverses sensibilités de la ville de Pointe-Noire profite bel et bien de la mort des Congolais et n’est pas disposé à se passer de ce gros business. Un pacte lierait les médecins à la morgue municipale de Pointe-Noire pour chaque cadavre offert avec une rémunération de 300.000 fcfa.
De la morgue municipale entre en action les Libanais qui extraient les organes aux cadavres pour leur vente au marché noir. Les reins sont les plus sollicités et on parle de plusieurs expéditions vers le Moyen-Orient où la demande est très forte.
Les citoyens s’étonnent du nombre excessif des décès qui était en berne lors du grand confinement. Cette mafia a juste repris su service après cette période creuse du Covid. Les Arabes du Moyen-Orient paient pour un rein quelques 200000 Euros ( 13.000.000.frs )