Après avoir sévit en Asie, Amérique du Sud et Afrique de l’Ouest, les pédophiles occidentaux choisissent de plus en plus le Congo comme terrain d’action. Ils viennent nombreux comme touristes ou faux investisseurs dans l’unique but d’assouvir leurs envies avec des mineures. A Pointe-Noire par exemple, il existe un réseau des proxénètes congolais qui gèrent des filles mineures dont l’âge varie entre 10 et 15 ans.

C’est dans les familles précaires et aussi dans les collèges que les proxénètes recrutent des mineures qu’ils offrent aux pédophiles occidentaux qui débarquent désormais à Pointe-Noire. Certaines mineures sont même recrutées dans les localités des Pays du Niari et ramenées dans la ville océane.

La situation difficile que traversent beaucoup de familles au Congo pousse certains parents à fuir leurs responsabilités. Abandonnés à leur sort, leurs enfants mineures sont parfois disposés à tout pour s’offrir des vêtements, téléphones et s’alimenter dignement.

Des proxénètes congolais agissent dans les écoles et directement dans les quartiers où ils se servent des informateurs proches des futures victimes. Logés généralement dans des appartements de Pointe-Noire, ces pédophiles paient entre 50000 et 100000frs par mineure bien que les intermédiaires proxénètes arnaquent après leurs victimes.

Mais, certaines mineures et collégiennes, sont parfois juste attirées par le désir d’avoir des relations sexuelles avec des blancs et n’exigent pas grand-chose. Des images des mineures congolaises circulent sur les réseaux sociaux dans des groupes privés pédophiles. Le Congo est devenu un paradis pour certains pédophiles occidentaux.