Des généraux aux gros ventres qui ne maîtrisent que la stratégie de gestion des femmes

Plus les années passent, plus la mondialisation fait effet sur les Congolais, on se rend compte que les forces armées congolaises ne servent pas à grand-chose, si ce n’est à défendre un pouvoir qui s’est militarisé ces dernières années. Pouvait-il en être autrement avec des généraux affichant des gros ventres et experts en la gestion des petites filles qu’aux techniques de défense du territoire.
L’insolence des troupes angolaises et maintenant gabonaises envers le Congo montre à suffisance les limites réels de l’armée congolaise, qui se sait incapable d’affronter corps à corps un ennemi structuré et ayant les mêmes capacités de défense. Les troupes de Luanda violent chaque fois sans crainte les frontières congolaises causant parfois des dégâts mortels, c’est le cas dernièrement dans la localité de Nzansi dans le Kouilou .
Un chef du village et son assistant ont été froidement abattus et aucun communiqué officiel du Congo n’a condamné cet acte. A Kimongo, les populations se sont habituées à la présence des militaires angolais qui ont même hissé leur drapeau une fois et capturé plusieurs éléments des FAC, libérés suite aux négociations.
Jamais, le haut commandement des FAC n’a songé riposter aux provocations des FAPLA de peur de se faire ridiculiser militairement. Tout le monde sait que c’est l’Angola qui a installé Sassou au pouvoir, et ce pays se croit tout permis au Congo.
Les militaires congolais ne se font remarquer que par leur goût du luxe et de l’argent. La majorité des officiers généraux sont des affairistes au service des sujets libanais et Ouest-africains. Ils gèrent plusieurs femmes dont chacune dispose d’une villa parfois gardée par des soldats.