France: ces filles africaines qui copient les blancs en tout sauf sur demander de l’argent aux hommes

Chateau d’eau.Paris.Michela Cuccagna©
Elles sont africaines, nées en Afrique et arrivées le plus souvent en France dans leur majorité et dépassent tous les entendements en copiant en tout la vie européenne plus que les filles africaines nées sur place. Elles parlent à leurs hommes d’intégration, des droits des femmes, de l’égalité, mais adorent se faire maintenir financièrement par ces mêmes hommes. Certaines rêvent de croiser un homme blanc riche pour réaliser leurs rêves.
Nombreux sont ces hommes africains qui ont renoncé à faire venir les femmes d’Afrique au vu des statistiques sur les divorces dans ce genre de couple. Ces femmes qui arrivent toutes soumises après avoir supplié leurs hommes changent radicalement au bout d’une période d’adaptation et lavement de cerveaux.
Des choses impossibles en Afrique sont facilement appliquées facilement par elles en France tel que mettre un mur entre les enfants et leurs pères juste pour des allocations familiales. Un Congolais dont la femme en Afrique lui faisait à manger et n’osait jamais le voir faire des tâches domestiques a été surpris de la voir l’envoyer à la cuisine et faire le ménage.
Ces femmes imitent en tout, les blancs, sauf, dans la répartition des charges domestiques. Elles disent sans gêne que c’est l’homme le chef de famille qui devrait s’occuper de sa femme et de sa famille. Pourtant les blanches qu’elles copient se partagent les charges avec leurs époux et ne vivent pas accrocher à leurs poches.
Les enfants sont le plus souvent des victimes de cette déviation en voyant leur éducation affectée. L’argent des allocations que leurs mères perçoivent ne sert pas à préparer leur futur et après le BAC, ils ne peuvent payer leur université et intègrent le marché du travail ou des formations professionnelles.
Leurs mamans qui se disent intégrées ont dépensé leur argent dans les tontines, la sapologie et autres loisirs sans se soucier de leur avenir. C’est après avoir atteint la majorité que ces enfants recherchent dans le désespoir leurs géniteurs.