Marien Ngouabi: le prof Bienvenue Boundibou, a abusé de 300 étudiantes avec des NST

Une fille qui a préféré garder l’anonymat s’est confiée à nos sources concordantes pour faire part de son expérience au sein de la dite université; que nous allons surnommer MADO dans cet article.
Tout a commencé en 2013, Mado était étudiante en 1ère année STC à la faculté des lettres et des sciences humaines (F.L.S.H en sigle) communément connue sous le nom « Bayardel ».
Étudiante assidue, Mado a connu le calvaire de se réveiller à 4h00 pour se rendre à la fac dans l’espoir de trouver une place confortable dans l’amphithéâtre BOUYA où l’on peut compter jusqu’à 1500 étudiants pour une enceinte initialement conçue pour accueillir maximum une centaine.
Elle participait régulièrement aux Travaux dirigés ainsi qu’aux devoirs individuels et devoirs de groupe. malgré ses efforts fournis ses notes dépassaient rarement la fourchette de 5 à 10 sur 20, chose qui devenait étrange sous ses yeux. Pire encore parfois 4 sur 20 qui est une note éliminatoire aux examens.
Et pour cause, un certain sieur BOUNDIBOU BIENVENUE professeur à Bayardel ( dont Mado n’oubliera jamais le nom) était son cauchemar, car elle n’arrivait pas à obtenir la moyenne à ses U.V. car ce dernier voulait abuser sexuellement de son étudiante Mado ( comme de coutume pour certains enseignants véreux de cette université).
Un jour pendant une interrogation surprise, alors qu’il fallait que Mado remette sa copie plus tôt, ce professeur s’est permis de déchirer sa copie devant tous les regards dans la salle sous prétexte que l’heure était dépassée tandis qu’il continuait à réceptionner les copies des autres étudiants. Elle était bouleversée, désespérée, et ne comprenait plus rien de ce scénario qui ne faisait que s’empirer de jour en jour.
Sans être étonné 0 (zéro) était la note qui l’attendait. cette situation ne s’est pas arrêtée là. lors d’un devoir par groupe de 10 dont Mado était chargée de la recherche de sources ainsi qu’à la rédaction, son groupe obtiendra une note de 14 sur 20 , une note qui devrait logiquement être attribuée à chacun des dix étudiants que composait ce groupe.
Malheureusement pour le cas de Mado, une fois la liste définitive affichée, à côté de son nom c’était un 0 (zéro) encore une nouvelle fois. Elle était révoltée cette fois-ci, et est allée se plaindre auprès du président des étudiants avec sa copie en main comme preuve, hélas elle n’obtint guère gain de cause. Mado était ainsi condamnée à reprendre ses U.V à la session de rattrapage où elle obtint une énième fois un 0 (zéro) d’office.
Cette fois-ci elle prit ses copies avec elle et s’en alla se plaindre au près du chef de département un certain sieur NDEKE ( donc le collègue de son bourreau BOUNDIBOU) croyant que son implication résoudrait quelque chose. hélas le jour des publications des résultats, son nom ne figurait ni sur la liste des admis ni sur celle des échoués. Son nom s’était tout simplement évaporé des inscrits de la dite faculté.
À bout de solutions et perplexe , elle s’est vue contrainte de prendre une résolution radicale d’abandonner l’université MARIEN NGOUABI et ses rêves avec. Tout un avenir jeté à l’eau à cause des pulsions sexuelles non satisfaites d’un individu usant de son statut à savoir conseiller proche de CLAUDIA SASSOU-NGUESSO outre sa profession d’enseignement à l’université.
C’est le passé, Mado finit par abandonner la fac pour s’inscrire à contre cœur dans une école privée où elle obtint une licence professionnelle en management commercial et Marketing. Elle a accumulé un retard dans son cursus universitaire.
Au Congo de Sassou il suffit juste d’entretenir des relations avec les proches du régime pour martyriser les autres citoyens dans l’impunité totale.
Les notes sexuelles transmissibles (NST) sont un fléau dans cette institution qui se pratiquent au vu et au su de tous dans l’impunité totale, et devenues banales au quotidien. L’instinct aigu de vaginophagie de ces enseignants véreux fait plusieurs victimes depuis déjà des nombreuses années, ne laissent plus de choix aux étudiantes inscrites dans ces différents établissements pour celles qui veulent coûte que coûte parvenir à leur rêve et n’ont nul part où se plaindre dans un pays où l’institution judiciaire est défaillante et corrompue.
Des clusters du VIH (pour ne citer que ça) ont été recensés dans nombre d’établissements.