Maroc: Jean Jacques Bouya, patron d’une usine agroalimentaire qui emploie 200 marocains

Avec de l’argent volé aux Congolais, Jean Jacques Bouya, comme la plupart de l’élite autour de l’Alima investit dans l’oisiveté et les femmes au Congo, mais rachète des usines à l’étranger où il donne du travail aux citoyens de ces pays. C’est le cas au Maroc où le sulfureux ministre et meilleur voleur du Congo possède des parts majoritaires dans une usine Agroalimentaire à Agadir qui embauche près de 200 marocains avec un chiffre d’affaires de 18 millions euros.
On en sait un peu plus sur la destination des 14000 milliards des générations futures dont Jean Jacques Bouya est l’un des plus grands bénéficiaires dans le vol bien-sûr. Le bricoleur des travaux du Congo s’est offert des parts majoritaires au sein de société Agroalimentaire Sodias, basée à Agadir au Maroc et spécialisée dans l’exportation de surgelé de fruits et légumes vers l’Europe.
Jean Jacques Bouya a investit quelques 30 millions d’euros dans cette société qui a évité de justesse une faillite. Le surgelé des fruits et légumes marocain séduit de nouveaux exportateurs. La niche est pourtant encore embryonnaire au Maroc (à part le cas unique des fraises), le Royaume étant surtout connu par ses exportations de fruits et légumes frais ou en conserve.
Mais il semble que depuis quelques années, le surgelé offre de nouvelles opportunités à l’export. La Société de développement des industries agro-alimentaires du Souss (Sodias), basée à Agadir, croit en tout cas dur comme fer au potentiel du segment. Créée en 2011, elle a pu exporter en 2013 3 000 tonnes de produits vers l’Europe, pour un chiffre d’affaires de 25 millions de DH. Ses exportations englobent des sacs de plastique surgelés de fruits (abricots, melons boules, clémentines, oranges, fraises et figues) et de légumes (aubergines, haricots, carottes, courgettes, piments, poivrons, citrouilles et oignons).
Un partenaire Congolais est venu à la rescousse de la société en injectant la somme de 30 millions d’euros ayant permis de supporter les dégâts causés par le Covid. Jean Jacques Bouya, qui est un membre influent au sein du pouvoir de Brazzaville s’est appuyé sur ses associés marocains dans cette affaire.
Au Congo, Jean Jacques Bouya a la mauvaise réputation non seulement d’un grand voleur, mais aussi et surtout d’un amateur dans les grands chantiers que le pays a lancé grâce aux conseils du colonel Edgar Nguesso, se basant sur l’exploit de la Côte d’Ivoire.
Alors que le chômage est le quotidien des Congolais, 200 marocains ont pu trouver un emploi bien rémunéré grâce à la générosité du ministre Jean jacques Bouya qui a injecté 30 millions dans Sodias.