Mfouati: les Chinois ont fait des Congolais des esclaves

La Société de Recherche et d’exploitation Minière en sigle SOREMI jadis dirigée par Gérald Metals, un trader américain dont l’esprit était de recruter 300 employés directs (CDI) et 1000 emplois indirects avait été reprise par CHINA Vols « société d’État chinois » qui détient 65% des parts (actions) et 10 pour l’État congolais, l’américain Gérald Metals conserva les 25 autres.
Depuis là les chinois se comportent en vrais colonisateurs réduisant tous les avantages acquis par les travailleurs congolais, avantages obtenus sous la direction américaine, réduction de salaires – réduction de crédits de communication amours aux cadres et agents de maîtrise, ségrégation raciale : pendant les réunions sur les activités de la société, aucun cadre congolais n’y participe, seuls les chinois sont conviés… , privation de véhicules de transport aux cadres congolais – des comportements déviants de racisme et d’esclavagisme…
Pendant, la crise sanitaire du Corona virus, après le confinement de mars les activités étaient en arrêt, la reprise des activités a est soumis à l’observation d’une quarantaine obligatoire des travailleurs de quarante-cinq (45 jours) dans les conditions très difficiles et non réglementaires et illégales alors que, le gouvernement congolais vient de notifier que la pandémie à Corona virus est maîtrisée.
Plus 200 contractuels et 85 employés en CDI logés dans des conditions difficiles, l’expression d’un mépris du chinois envers les noirs africains sous la complaisance du gouvernement congolais, complice de ces aventures esclavagistes chinoises.
Tél un ouvrier chinois (ils sont plus de 300 sur place, non contrôlés par les services de l’immigration par un nota béné du préfet de la Bouenza nous a fait une indiscrétion un lieutenant, disant je cite : « Puisque le Congo a une dette extérieure 66% envers la Chine, les chinois sont désormais les chefs des congolais, tel est leur ambassadeur Ma Fu Lin qui, est actuellement le réel le président du Congo Brazzaville »
On peut dès lors noter ici, que c’est une haute trahison du Gouvernement, un appel est donc lancé vers les médias et organisations de défense de droits humains et du travail, d’intervenir avant que l’irréparable ne se produise, ont prévenus les travailleurs congolais.