Océan du Nord : Quand Claudia Sassou se cache derrière les Waras pour piller les Congolais

Claudia Sassou est la propriétaire de la société de transport Océan du Nord qui a imposé à 15000 cfa le billet entre Brazzaville et Pointe-Noire alors que la concurrence l’avait fait baisser à 7000cfa. Non contente de voler directement dans les caisses de l’État, la veuve du Gabon a profité de son statut social pour imposer ce tarif aux Congolais. Dans son pacte avec le diable, il lui aurait été une close de sacrifices periodiques des passagers empruntant les bus de sa société. Croyant se cacher dans un pays où le songui songui est fort, elle a mis au devant les Waras dans la gestion d’Océan du nord.
Le Congo est depuis 1997 orphelin de ses vrais hommes d’affaires qui pouvaient justifier facilement la source de leur richesse. De nos jours, même un bébé sait que ceux qui prétendent être riches actuellement ne sont que des voleurs. Dans cette course au vol dans les caisses de l’État se sont lancés aussi des femmes à l’instar de Claudia Sassou Nguesso, fille du chef de l’État. Elle se bouscule dans le peloton de tête des voleurs du pays.
Consciente que tout congolais douterait de sa fortune, Claudia Sassou a mis en avant des sujets Ouest-africains à la tête de sa société de transport Océan du Nord. Tirant les ficelles, elle a imposé le prix des billets sur le tronçon de la RN1, alors que ceux-ci avaient considérablement baissé à 7000 frs.
Et comme tout membre du cartel de l’Alima se distingue par son idiotie, elle a tenté par la voie de ses Waras de se justifier sur les 7 péages sur la RN1 qui coûtent 10000 frs à chaque bus. Hors, pour un voyage entre Brazzaville et Pointe-Noire, un bus qui prend au minimum 45 passagers encaisse quelques 675000 frs. Enlevant les 70000 frs des péages et les 50000 frs du carburant, le bénéfice est assez conséquent.
Il est claire que Claudia Sassou a imposé ces tarifs à la hausse pour son gain personnel sans se soucier des voyageurs. D’autres sociétés ont été menacées de s’ajuster au même tarif au risque des représailles. Par cette même volonté de voler le peuple, des pressions ont été exercées afin que le CFCO ne se relève pas pour que Océan du nord s’enrichisse facilement.
Plusieurs dignitaires du cartel de l’Alima utilisent des prêtes noms étrangers pour leurs affaires croyant que le Congolais est bête pour ne pas s’en apercevoir.