P/​Noire : Kelly , 26 ans sans em­ploi, re­çoit 600 eu­ros par mois de ses 6 gars Fa­ce­book d’Eu­rope

 P/​Noire : Kelly , 26 ans sans em­ploi, re­çoit 600 eu­ros par mois de ses 6 gars Fa­ce­book d’Eu­rope

Les ré­seaux so­ciaux ont fa­ci­lité les re­la­tions hu­maines au point où de n’im­porte quel point de la terre, deux per­sonnes peuvent s’ai­mer et pro­je­ter le fu­tur en­semble. Mais nom­breux aussi se servent de cette mo­der­nité pour ex­ploi­ter les autres. C’est le cas de Kelly T, une congo­laise de 26 ans ha­bi­tant à Pointe-Noire dont les pho­tos pos­tées sur les ré­seaux so­ciaux at­tirent énor­mé­ment des hommes comme des mouches. Elle a pu fi­dé­li­ser 6 d’entre eux qui lui en­voient chaque mois la somme de 100 eu­ros cha­cun pour ses be­soins. Elle se re­trouve alors avec 600 eu­ros ( 400.000 cfa ) de sa­laire amou­reux men­suel.

En Eu­rope, nom­breux sont ces hommes Afri­cains qui pré­fèrent dé­sor­mais avoir une fille en Afrique qu’ils gèrent à dis­tance jus­qu’à leur voyage sur place. Des filles en Afrique ont com­pris le fi­lon et se font in­té­res­santes sur les ré­seaux so­ciaux.

A Pointe-Noire, Kelly T de 26 ans qui est sans em­ploi a su uti­li­ser in­ter­net à bon es­cient et au­jour­d’hui elle en ré­colte les fruits. Elle vit mieux que plu­sieurs fonc­tion­naires grâce aux 400.000 cfa qu’elle re­çoit chaque mois de ses 4 pe­tits-amis d’Eu­rope.

« Au dé­part, je pou­vais re­ce­voir plus de 1000 eu­ros par mois, mais cer­tains hommes au bout de mo­ment dis­pa­raissent et ne font plus signe, sur­tout quand je re­fuse de les en­voyer mes pho­tos in­times ou faire l’amour par vi­déo » confie Kelly T qui a pu gar­der néan­moins 6 dont deux sont déjà ve­nus au pays.

Kelly T ne se gène pas de re­con­naître être dis­po­sée à cou­cher avec les 6 hommes qui lui sont res­tés fi­dèles lors de leur sé­jour au pays. «  C’est la moindre des choses, je mange leur ar­gent ! » af­firme-t-elle avec sou­rire.

La crise qui sé­vit au Congo pousse des filles comme les gar­çons à créer des si­tua­tions lu­cra­tives pour leur sur­vie. En par­cou­rant les murs de cer­taines filles sur Fa­ce­book ou Ins­ta­gram, l’on peut fa­ci­le­ment se rendre compte de leurs ob­jec­tifs. Kelly T af­firme aussi être déjà pro­prié­taire de deux ter­rains vierges dans un quar­tier pé­ri­phé­rique de Pointe-Noire grâce à l’ar­gent de ses gars Fa­ce­book.

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