P/Noire : un policier fait coffrer un pasteur qui a imposé un mois à sa femme sans faire l’amour

 P/Noire : un policier fait coffrer un pasteur qui a imposé un mois à sa femme sans faire l’amour

Finalement certains pasteurs s’entêtent à ne pas comprendre qu’il y a des choses qu’on ne peut toucher dans un couple, surtout quand l’homme adore le dobage ? Un policier en poste dans la capitale économique Pointe-Noire, n’a pas du tout aimer que son épouse lui refuse le sexe à cause de la recommandation de son pasteur. Le mari policier a fait coffrer le dit pasteur au PSP pendant trois jours afin de le corriger et s’abstienne dorénavant de telles intentions.

Pour ce policier et ses collègue du PSP de Massola, il est inacceptable qu’un pasteur puisse priver à l’époux de sa fidèle du sexe sous prétexte des histoires spirituelles. Le pasteur Jacques, d’une église de réveil évoluant au quartier Tié Tié, après confessions de sa fidèle, lui a recommandé d’observer une période d’abstinence sexuelle de deux semaines.

Une recommandation pastorale très mal vu par son époux policier, qui au troisième jour a décidé de mettre fin à cette torture par la voie de la force. Il a convoqué le pasteur au PSP au motif de réaliser une prière avec ses collègues. Une fois le pasteur sur place, il lui a été signifié ses dérives bibliques affectant la bonne marche des couples.

Malgré ses explications sur le bien fondé de l’abstinence sexuelle recommandée à ses fidèles, il a été jeté en cellule. Alertés, les membres de l’église qui sont venus négocier sa liberté ont été priés de regagner leur domicile à cause de l’intransigeance des policiers à ne pas le libérer s’il ne revenait pas sur sa recommandation. C’est au deuxième jour de sa garde à vue que le pasteur a demandé à son Dieu d’agir sur l’épouse du policier. Elle a décidé de mettre fin à son abstinence pour satisfaire son époux policier et obtenir de facto la liberté de son pasteur.

A l’église, tous les fidèles ne comprennent pas le degré du pitain de ce policier, incapable de supporter deux semaines ou à défaut d’aller voir dehors avec ses maîtresses. «  On ne blague jamais avec cette affaire de dobage ! » a renchéri l’un des policiers du PSP de Massola.

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