Porteur du VIH, le colonel Itoua de la présidence gère 6 femmes seules en France et 3 petites au Sénégal

 Porteur du VIH, le colonel Itoua de la présidence  gère 6 femmes seules en France et 3 petites au Sénégal

Une méchanceté exécrable de la part d’un homme conscient de sa maladie et une volonté aveugle d’être entretenue par une autorité du pays. C’est le résultat de ce feuilleton dont les acteurs sont un colonel en poste à la présidence du Congo et 6 femmes seules en France et 3 filles au Sénégal, tous de nationalité congolaise. Atteint du Sida, ce colonel ne s’empêche pas de maintenir des relations sexuelles non protégées avec ces filles et s’en vante même auprès de ses amis dans les bistrots de Brazzaville.

En Afrique, généralement on croit que vivre en Europe permet aux africains de s’émanciper en tout et surtout intellectuellement grâce à toutes les facilités accordées par le système dans ce continent. Mais malheureusement, nombreux sont les Congolais qui ne savent pas encore le but de leur séjour en France par exemple. Dans un monde où la femme jouit presque d’une même égalité que l’homme, les congolaises n’arrivent pas toujours à les imiter. Dans leurs têtes, l’argent de l’homme vaut plus d’elles-mêmes, et elles acceptent l’intégration sauf d’être maintenues par les hommes.

Sinon comment comprendre que des personnes qui vivent en France aspirent toujours à avoir un homme riche vivant au Congo ? L’ayant compris la plupart des autorités congolaises ont chacune une occasion d’Europe, qu’elles font venir au pays pour des dépannages sexuels de temps en temps.

Le cas du colonel Itoua de la présidence de la république est le plus triste dans cette affaire de la cupidité des femmes congolaises à l’étranger. Porteur du VIH, il a profité lors de ses contrôles en France de se taper six femmes seules avec enfants qu’il entretient depuis près de 4 ans. A chacun de ses séjours en France, comme tout bon polygame, il partage les semaines avec ses maîtresses.

Selon son propre récit, aucune de ces femmes n’est au courant de sa maladie et il a toujours des rapports sexuels avec elles dont certaines lui demandent d’avoir un enfant. Une chaîne très dangereuse dans la mesure où à côté, ces femmes seules ont aussi en France leurs dépanneurs sexuels.

C’est dans un nganda après avoir récupéré le passeport de l’une de ses maîtresses à la préfecture de Brazzaville qu’il s’est mis à parler de ses prouesses ignorant que ces deux petits qui l’accompagnaient sont au courant de sa maladie. « Vieux oyo aza vrai démon ! » a estimé l’un des petits.

Aussi triste que cela peut paraître, le même colonel Itoua gère aussi trois filles étudiantes congolaises à Dakar au Sénégal dont une qu’il a connu à Brazzaville. Chaque mois, il envoie à ses pauvres étudiantes de l’argent et avoue avoir dans son téléphones des nudes d’elles. Avant d’aller en France voir ses autres maîtresses, il passe toujours pas Dakar.

Le colonel Itoua a confessé aussi chaque deux semaines, envoyer à Dakar de la nourriture congolaise à ses trois petites, lesquelles qui la revendent à la diaspora des deux Congo pour arrondir leurs fins du mois.

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