Scandale : un jeune étudiant tabasse un responsable de la SNPC qui lui a demandé ses fesses pour un stage

 Scandale : un jeune étudiant tabasse un responsable de la SNPC qui lui a demandé ses fesses pour un stage

A la recherche d’un stage payant à la société nationale de pétrole du Congo, un jeune étudiant de 23 ans a été l’objet d’une proposition indécente d’un responsable de la dite entreprise. Selon ce responsable la condition principale pour se voir accorder un stage pour le jeune était de se faire sauter l’anus par lui. Ecœuré de l’entendre, le jeune n’a pas réfléchi deux fois avant de s’en prendre violemment au responsable poussant à l’intervention des autres employés.

Malgré la situation difficile que vit le Congo et ses populations, il y a des jeunes qui n’entendent pas se lancer dans la dépravation des mœurs pour obtenir un bénéfice professionnel ou financier?

Étudiant en économie à l’université Marien Ngouabi, Armel N était à la recherche d’un stage payant dans les sociétés de Brazzaville. Un ami lui a conseillé d’aller vers un responsable à la SNPC qui pouvait l’aider à obtenir gain de cause. Après plusieurs coups de fil passés, il a enfin obtenu un rendez-vous à la direction de cette société au centre-ville.

Mais une fois en face de celui qui était appelé à lui facilité l’obtention d’un stage payant, le jeune étudiant a été écœuré de s’enquérir des conditions à remplir pour en bénéficier. Après des belles creuses dans lesquelles il citait les exemples des personnes qu’il aurait aidé à décrocher un stage et même un emploi à la SNPC, il a demandé au jeune de consentir à avoir des relations homosexuelles avec lui.

Pour lui, cette condition à remplir était normale et que beaucoup d’employés qui roulent carrosse dans les rues de Brazzaville sont passés par là et le ciel n’est pas tombé. Le jeune étudiant a été emporté par la rage et s’est balancé sur le responsable qu’il a commencé à tabasser.

Les cris de détresse du responsable ont poussé d’autres employés à venir à son secours. Détenu par la police, le jeune étudiant a relaté les faits avec une telle colère que le chef de l’intervention l’a relâché au bout de quelques minutes. « Donc, c’est que vous exigez aux enfants des gens ici pour un stage ? » s’est étonné le policier.

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