Surpris avec un mineur, un député offre un voyage à Dubaï à sa femme pour la calmer

Sa femme a été corrompu par un voyage de rêve à Dubaï en compagnie de sa sœur dans le but d’éteindre le feu. Elle aurait surpris son mari entrain d’avoir des rapports sexuels avec un garçon mineur de leur quartier. « C’est pour notre bonheur que je le fais » aurait justifié ce député d’une circonscription de Brazzaville Nord.
Alors que le Congo traverse une période de crise financière aiguë ayant conduit à une assistance du FMI, un député du PCT de la zone nord de Brazzaville dont ce journal tait à escient l’identité, se préoccupe plus de son avenir politique. Loin de poser de bonnes questions lors des sessions de contrôle au parlement, il se perd dans les pratiques fétichistes.
Sa femme l’aurait surpris en plein ébats sexuels avec un jeune garçon de leur ruelle. Affolée, elle aurait été très vite été tranquillisée par son époux , qui du reste a justifié le bon sens de son acte. C’est un passage obligé pour son maintien au parlement synonyme d’une vie aisée.
Un voyage à Dubaï tout frais payé a calmé les ardeurs de la femme qui a compris son époux et lui a laissé le temps de terminer son forfait. Une indiscrétion que le propre garçon aurait glissé à ses amis en apprenant le voyage de la femme du député à Dubaï. « Elle est allée à Dubaï grâce à moi, lolendo ya pamba »
Au Congo, la rue a toujours affirmé que l’appartenance à la franc-maçonnerie impliquait aussi des pratiques homosexuelles pour renforcer ses forces mystiques et s’attirer des bonnes grâces du chef de l’État.
Des hommes politiques, qui en majorité, jouissent d’une incompétence notoire dans la gestion publique se réfugient dans ces pratiques et sont prêts à tout pour discréditer toute voix dénonciatrice.
Dans un pays sérieux, ce député serait traduit devant la justice pour pédophilie et expulsé du parlement. Mais, au Congo, même le voisinage, pourtant au courant de ses forfaits lui voue un respect de façade à cause des petits gestes financiers insignifiants.