Un colonel franc-maçon de la DGSP tapé par les amis judoka de son fils qu’il a voulu sacrifier

Le Colonel Oko de la sécurité présidentielle vient de faire les frais de son appartenance à la Grande Loge maçonnique du Congo qui lui a exigé en sacrifice son propre fils. Mais il a oublié un petit détail, celui du sport pratiqué par son fils qui est basé sur la solidarité et l’entraide. Une fois que les hommes de Dieu ont détecté la provenance des menaces mystiques pesant sur le fils du colonel Oko, ses amis Judoka n’ont pas hésité à se faire justice en assurant une bastonnade très punitive au franc-maçon qui a renoncé finalement au sacrifice.
Un club amateur de Judo par le biais de ses membres a sauvé de justesse la vie d’un des leurs en appliquant la violence. Le Judoka Aimé Oko, très apprécié par ses collègues a été victime d’une tentative de sacrifice par son propre père qui est colonel au sein de la Direction générale de la sécurité présidentielle.
Ayant adhéré à la Grande Loge du Congo que dirige JDO et Sassou dans l’unique but de bénéficier des promotions professionnelles, le colonel Oko à l’instar de tous les membres de cette secte a l’obligation de faire des sacrifices humains. Et cette fois-ci, le gibier a livré n’était entre autre que son propre fils Aimé.
Quand son fils a commencé à sentir des menaces mystiques, sa mère, séparée de son père et qui est une fervente chrétienne s’est vite dirigée vers les hommes de Dieu pour sauver son fils. Tous les serviteurs de Dieu ont mis en cause une seule personne, à savoir son propre père.
Excédés par ce comportement irresponsable et inhumain du colonel Oko, les amis Judoka de son fils Aimé se sont rendu à son domicile à Nkombo pour se faire justice préventive qui s’est avérée très salutaire. Au nombre de six, ils ont passé à tabac le colonel qui n’a eu la vie sauve grâce à sa promesse de ne plus sacrifier son fils et surtout de renoncer à toutes représailles.
Depuis lors, Aimé son fils a quitté le domicile de son père au profit de celui de sa mère à Ouenzé où il tente de renouer avec sa vie de toujours. A Nkombo, le colonel Oko dont tous les voisins connaissent les visées maçonniques sort désormais très tôt et rentre tard de peur d’être l’objet du songui songui.